PLATO ou l'apport de la physique stellaire à l'étude des planètes
Mariejo Goupil  1@  , Magali Deleuil  2  
1 : Laboratoire d\'études spatiales et dínstrumentation en astrophysique
Université Pierre et Marie Curie - Paris 6, Institut national des sciences de l\'Univers, Observatoire de Paris, Université Paris Diderot - Paris 7, Centre National de la Recherche Scientifique : UMR8109, PSL, IMCEE, Observatoir de Paris, Paris, France, Institut national des sciences de l\'Univers
2 : Laboratoire dÁstrophysique de Marseille
Aix Marseille Université : UMR7326, Institut national des sciences de l\'Univers, Centre National d'Etudes Spatiales : UMR7326, Centre National de la Recherche Scientifique : UMR7326, Institut national des sciences de l\'Univers, Institut national des sciences de l\'Univers, Institut national des sciences de l\'Univers, Institut national des sciences de l\'Univers, Institut national des sciences de l\'Univers, Institut national des sciences de l\'Univers, Institut national des sciences de l\'Univers, Institut national des sciences de l\'Univers, Institut national des sciences de l\'Univers, Institut national des sciences de l\'Univers

PLATO est la 3ième mission de classe M de l'ESA. Avec un tir en 2026, l'objectif de la mission est la détection et la mesure précise des paramètres fondamentaux de systèmes planétaires proches. L'instrument permettra en particulier la détection de planètes de taille comparable à celle de la Terre et ce jusqu'à des distances orbitales de 1 au. Nous présenterons rapidement le profil de mission et ses objectifs scientifiques. Nous verrons plus en détail le rôle clé de la physique stellaire pour l'étude des systèmes planétaires, en particulier pour ce qui est de leur évolution.

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