Physique stellaire et Instrumentation à Haute Résolution Angulaire
David Mouillet  1@  
1 : Institut de Planétologie et dÁstrophysique de Grenoble
Centre National de la Recherche Scientifique, Institut national des sciences de l\'Univers : UMS832, Université Joseph Fourier - Grenoble 1, Institut national des sciences de l\'Univers : UMR5274, Institut national des sciences de l\'Univers

La France a eu et a un rôle majeur dans les instruments à haute résolution angulaire (optique et IR), pour lesquels la physique stellaire est une des motivations essentielles. Après un bref rappel des instruments concernés (dans les domaines de l'interférométrie, de l'optique adaptative ou du grand contraste, et pour le traitement du signal associé) et de quelques illustrations marquantes, nous souhaitons informer et interroger sur deux axes qui nous paraissent transverses à l'ASHRA et au PNPS. Premièrement, il est important à la fois d'assurer un retour optimal pour l'utilisation la plus vaste et la plus productive des instruments parfois complexes pour une vaste communauté : quels sont les soutiens qui existent ou qui sont en cours de développement ? peut-on les améliorer ? Deuxièmement, pour l'instrumentation future, certains engagements sont pris, certaines orientations doivent encore être décidées ou motivées. Ici aussi, commençons par des éléments d'information, pour appuyer une réflexion prospective PNPS, mais surtout pour stimuler une discussion sur les priorités instrumentales futures fondées sur les motivations astrophysiques.


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